e-mail: cours.de.medecine@hotmail.fr

“Krokodil”, la nouvelle drogue dévastatrice ?!





Ce fléau touche de nombreux pays européens. Il arrive au seuil de la Belgique


BRUXELLES Une nouvelle drogue destructrice déferle sur une partie de l’Europe. Son nom, la Krokodil, fait référence aux effets ravageurs, tels des morsures de crocodile, qu’elle provoque sur et sous la peau.

Cette drogue est apparue en 2002 dans l’est de la Russie et la Sibérie. Elle s’est répandue de plus en plus auprès des jeunes russes, surtout ceux issus de classes défavorisées, qui trouvent en cette drogue le moyen d’échapper à leur quotidien.

Seulement, la Krokodil a des effets dix fois supérieurs à ceux de l’héroïne à un coût trois fois moindre. Elle détruit et pourrit littéralement l’épiderme. Elle arrive même à trouer les os. À n’en pas douter lorsqu’on analyse ses composants : iode, héroïne, essence, dissolvant à peinture, phosphore rouge (partie rouge des allumettes) et codéine (contenu dans le somnifère).

 
La Krokodil a un aspect pâteux, obtenu après combustion, et provoque des dégâts incurables. Le membre où est administrée la drogue se gangrène et doit souvent être amputé. Pire, les spécialistes ne donnent qu’une espérance de vie de un à trois ans pour tous les consommateurs, qui meurent soit d’un empoisonnement du sang, d’une méningite, d’une pneumonie ou de pourrissement.

La Krokodil peut même être fatale après la première injection.

Face à ce fléau, le gouvernement russe se montre impuissant et les centres de désintoxication sont peu nombreux. Actuellement, environ un million de Russes en sont devenus dépendants.

Malheureusement, ce poison gagne du terrain et commence à toucher d’autres pays européens. C’est le cas de l’Allemagne où à Bochum, quatre sans-abri présentent les dangereux symptômes de la Krokodil. Elle est aussi aux portes des Pays-Bas… et de la Belgique.

Chez nous , cette drogue est encore peu connue des médecins et psychiatres. Les jeunes, quant à eux, semblent plus informés. “C’est un mélange de nombreux ingrédients toxiques, dix fois plus dangereux que l’héroïne”, affirme Nicolas. “La peau se décompose et on peut en mourir en trois ans”, rétorque Saki. “Je ne comprends pas comment des gens peuvent consommer un tel poison”, confie Valon.

À bon entendeur…

 Source: dhnet.be



Vidéo - Remise en place d'une main coupée ?!











Vidéo - un couteau dans la poitrine











Les six traits de caractère qu’il faut avoir absolument pour réussir dans la vie ?!






Le professeur Jeffrey Pfeffer, de l’Université de Standford en Californie, a analysé par le prisme de ses étudiants les clés de la réussite des plus grands, comme l’ancien président Johnson ou bien encore Robert Moses, l’urbaniste chargé de la rénovation de New York entre 1930 et 1970. 


Pour Jeffrey Pfeffer, professeur à l’Université de Standford, en Californie, le président américain Johnson était un grand homme et un grand travailleur. Pour Jeffrey Pfeffer, professeur à l’Université de Standford, en Californie, le président américain Johnson était un grand homme et un grand travailleur. Crédit Reuters Six. Six traits de caractère, de personnalité qu’a recensé le professeur Jeffrey Pfeffer. Ces six traits sont pour lui la clé de la réussite, de la puissance et de la performance, afin d’atteindre le haut niveau. Mais le professeur n’a pas fait que comparer ce qu’avaient les “champions” en commun : son analyse s’est également penchée sur le manque des moins “forts”. Le premier trait concerne l’énergie et l’endurance physique. En partant de ce postulat, effectivement, il y a déjà une sélection qui s’effectue. Car tous les individus n’ont pas la résistance physique d’aligner au minimum dix heures de travail par jour, et des semaines oscillant entre 60 et 65 heures, minimum. Pour le professeur Pfeffer, la capacité et la volonté de travailler comme un acharné a caractérisé bon nombre de personnages puissants. Cette masse de travail abattu permet de “dépasser” certains individus, pourtant plus intelligents ou compétents. De plus, cette énergie dépensée dans le travail va inspirer l’entourage à travailler également plus. Une émulation par le labeur en somme. Deuxième clé de la réussite, la concentration/application/attention/perspective. Le focus, en un mot. Le professeur cite l’exemple d’un étudiant qui a refusé un excellent poste dans une compagnie pétrolière. La raison ? Son ambition de conquérir le bureau ovale étant plus forte que tout, travailler dans le pétrole, l’or noir du XXIe siècle l’aurait grandement compromis. Selon Jeffrey Pfeffer, les directeurs à succès de grands groupes sont ceux qui ont concentré leurs efforts de carrière au sein de la même entreprise, ou d’un nombre restreint. Un peu d’humanité dans ce monde de brute : la troisième clé du succès repose sur la sensibilité aux autres. Car savoir ce que les autres veulent aide à mieux communiquer. Mais, il y a un pas entre savoir ce qu’autrui désire, et ce qu’il obtient. Et le professeur de Standford le sait bien. La négociation entre alors en compte. 
 
La quatrième clé réside dans la flexibilité. Et là, cela devient complexe, voire schizophrène comme le décrit l’auteur de l’article de Business Insider, qui n’hésite pas à parler de Machiavel. Un subtil dosage s’avère nécessaire Pour Pfeffer, si la flexibilité peut conférer un grand pouvoir, elle s’oppose à la fois à la clé numéro 2, ainsi qu’indirectement à la clé numéro 3. Dans le rapport aux autres, être flexible peut être compris comme faible, peu ferme par rapport aux autres…Un subtil dosage de toutes ces clés s’avère donc primordial. L’avant dernière clé du conflit réside dans la capacité à tolérer les conflits. Mais il ne faut pas pour autant forcément les fuir. C’est un peu comme remporter une bataille, ou la guerre…Enfin, la dernière clé à assembler aux cinq autres, concerne la capacité à maîtriser son ego, à ravaler parfois sa fierté. Car l’ego peut être un ennemi redoutable. La conclusion peut être déroutante : s’il faut parfois tracer son chemin en solitaire, carriériste, il est bon aussi à certains moments de créer des alliances et des réseaux d’amitié. 
Pour Jeffrey Pfeffer, les gens qui peuvent accéder aux plus hautes charges sont en mesure de modifier leur comportement en fonction de l’opportunité qui se présente à eux. Légèrement schizophrène donc. Mais six vous possédez ces six traits de personnalité, et que vous le souhaitez, vous devriez parvenir à de grandes carrières.
Source: Atlantico.fr


Livre Médicale - Dictionnaire médical avec atlas anatomique.





Cette 6e édition revue, corrigée est mise à jour est en accord avec l’actualité médicale est reste un excellent outil pour tous ceux qui travaillent et s’intéressent à ce domaine.


 

http://bc.vc/hmKIiL

 

 

 

 

corrigé de l'épreuve de la science fondamentale du résidanat 2012





Corrigé de l'épreuve de la science fondamentale du résidanat 2012

http://bc.vc/hRs34y

Livres Médicales - guide de poche de l'examen clinique et l'interrogatoire



Auteur : Barbara BATES | Lynn S.BICKLEY | Peter G.SZILAGYI |

Editeur : ARNETTE

Année : 10/2010 (2ème édition)
Nombre de pages : 527


Cette version de poche du «Epstein» résume l'essentiel des connaissances nécessaires pour mener un interrogatoire et un examen physique exhaustifs.

L'iconographie en couleurs et les nombreux encadrés thématiques contribuent à donner au lecteur, pour chaque situation potentielle, une vue rapide des points essentiels: Diagnostic étiologique; Urgences; Examen des personnes âgées; Questions à poser; Facteurs de risque; Signes et symptômes.

Facile à consulter, ce guide de la collection «Médecine en poche» se caractérise par la précision de l'information et par une grande clarté visuelle. Ce livre, idéal pour tous les étudiants en médecine, sera aussi une aide précieuse pour le médecin généraliste et pour l'ensemble du corps paramédical au quotidien.

Au sommaire notamment: Dossier médical, antécédents médicaux et technique d'interrogatoire; Examen général; Peau, ongles et cheveux; Nez, gorge et oreilles; Système respiratoire; Coeur et système cardiovasculaire; Abdomen; Seins et organes génitaux féminins; Organes génitaux masculins; Os, muscles et articulations, Système nerveux; Enfance et petite enfance.



http://bc.vc/0imsUP



L'homme qui produisait de l'alcool dans ses intestins ?!



Lorsque trop de mauvaises bactéries s'installent dans les intestins, ils peuvent se transformer en machine à brasser la bière.


Les intestins humains peuvent, dans des circonstances exceptionnelles, fermenter de l'éthanol à partir des sucres ingérés lors des repas.
Un texan de 61 ans se plaignait de maux de tête et de vertiges lorsqu'il a passé la porte des urgences de son hôpital, il y a quatre ans de cela. Alors qu'il assurait ne pas avoir consommé d'alcool, les résultats de l'éthylotest montraient un taux de 4 grammes d'alcool par litre de sang, soit cinq fois plus que le taux autorisé par la loi américaine (0,8 grammes), et huit fois plus que celui autorisé en France (0,5 grammes)! Les tests ne mentaient pas, mais le sexagénaire américain non plus: il n'avait rien bu.

Des chercheurs se sont intéressés à ce cas clinique et ont publié en juillet une étude dans l'International Journal of Medicine, dans laquelle ils concluent que l'homme souffrait d'un rare «syndrome d'autofermentation», qui lui faisait produire de l'alcool à l'intérieur de l'organisme.

Les médecins étaient tout de même sceptiques après l'éthylotest. Ils croyaient davantage à un alcoolisme caché. Pour éliminer tout soupçon deux ans après sa première hospitalisation, ils l'ont placé en quarantaine pendant 24 heures. Des repas riches en glucides lui ont été administrés, et sa concentration d'alcool dans le sang était analysée toutes les deux heures. Le patient n'avait évidemment accès à aucune boisson alcoolisée.

Pourtant, quelques heures après le déjeuner, son taux d'alcoolémie était d'environ 2 grammes par litre de sang. Selon les auteurs, ce symptôme serait dû à une infection bactérienne des intestins, qui ne permettrait plus l'élimination de la levure de bière contenue dans les féculents ou les boissons alcoolisées - cette même levure qui est utilisée par les industriels pour brasser la bière.

 

 

Quelques cas répertoriés

Le cas de cet Américain n'est pas unique: des précédents, au Japon notamment, ont permis d'identifier le processus de fermentation humaine. La flore intestinale (ou microbiote intestinal) y joue un rôle essentiel puisqu'elle influe directement sur la présence de mauvaises bactéries et la formation de champignons. Les scientifiques sont unanimes: ce sont bien ces infections qui empêchent la bonne digestion des aliments, notamment des levures de bière. De fait, chez toutes les personnes affectées (dont une enfant de trois ans en Suède), une infection des intestins ou un syndrome de l'intestin irritable (une partie de l'intestin ne fonctionne plus) ont été diagnostiqués. Dans le cas du sexagénaire texan, la pauvreté de sa flore intestinale a été expliquée par une prise d'antibiotiques supérieure à la normale.

La levure à l'origine de cette «autofermentation» est extrêmement commune, et s'appelle Saccharomyces cerevisiae. Elle se trouve dans les féculents (pain, riz), les boissons alcoolisées (vin, bière) et même les compléments alimentaires (probiotiques). Normalement, le foie et les voies digestives sont capables d'éliminer les levures de bière à raison de 6 à 8 grammes par heure, selon une étude similaire publiée en 2000 dans Medicine, Science and the Law. Lorsque la flore intestinale est trop endommagée, la levure reste. Or, c'est justement cette levure qui est utilisée dans l'industrie des boissons alcoolisées parce qu'elle a le pouvoir de créer de l'alcool à partir de sucres. La surprise fut de découvrir que l'intestin humain pouvait fonctionner comme une machine à brasser la bière!

 

Des traitements aux effets prouvés

Chez les personnes atteintes, ces alcoolisations involontaires deviennent un problème de santé publique: conduite en état d'ivresse, perturbations des relations professionnelles ou personnelles, dégradation du foie, etc. Mais les traitements existent: pendant six semaines, le patient texan a pris des antifongiques (fluconazole, nyastin), associés à des compléments permettant de faire entrer de bonnes bactéries dans le microbiote intestinal, tout en éliminant les mauvaises. Il a ensuite été obligé de suivre un régime stricte sans sucres, féculents ou alcool, afin de réduire les risques de fermentation involontaire.

Source: LeFigaro.



Cancer du rein et de la vessie : le tabac, ennemi numéro un ?!





Dans la ligne de mire des cancérologues depuis de nombreuses années, la cigarette serait aussi, et de loin, le principal facteur de risques des cancers du rein et de la vessie. C’est ce que révèlent les spécialistes à l'occasion de la Semaine européenne de l'urologie, organisée par l’Association française d'urologie (Afu).



Tumeurs principalement masculines, les cancers qui touchent la vessie et les reins, affecteraient chaque année un peu plus de 79 000 Français et entraineraient le décès de plus 9 000 d’entre eux. Face à ce constat, de nombreux chercheurs à travers le monde pistent les origines de ces maladies et les facteurs de risques qui peuvent expliquer leur forte incidence, ainsi que ceux pouvant favoriser leur progression.

Une analyse de la littérature scientifique a permis d’identifier l’ennemi numéro un. C’est encore une fois la cigarette. En effet, le tabac multiplierait de 2 à 10 le risque de survenue de ces deux cancers.

En ce qui concerne le cancer de la vessie, les données épidémiologiques montrent que chaque année, prés de 12 000 nouveaux cas sont diagnostiqués et 5 000 patients succomberaient des suites de cette maladie, soit prés de la moitié. Au delà de la tumeur, ce type d’affection a une incidence indéniable sur la vie des personnes atteintes : douleur à la miction, baisse de la libido, etc.

Comment enrayer le processus ? Les spécialistes sont unanimes, il faut arrêter de fumer. En effet, des travaux menés sur l’impact de la cigarette sur le cancer de la vessie ont montré que la vessie stocke un peu plus de 43 résidus cancérogènes différents éliminés par les reins. A la longue, cet amas de substances entraîne la formation de cellules tumorales à l’origine du cancer. Par ailleurs, la pollution extérieure ainsi que l’exposition à certains produits au sein l'environnement professionnel (tannage, teinture, pesticides, production de matières plastiques, etc.) pourrait être à blâmer.

Quant aux cancers qui affectent les reins, ils toucheraient chaque année un peu plus de 11 500 personnes en France, dont 4 000 décéderaient. Le taux de mortalité de ce type de maladie est particulièrement important. C’est pour cette raison qu’en connaître les facteurs de risques reste la meilleure façon de les combattre. Les experts estiment que 21 % de ces cancers ont pour origine le tabagisme et qu’il suffirait pour en limiter la survenue d’arrêter de fumer au moins 10 ans…

Pour réduire les risques d’être touché par ce type de cancer particulièrement douloureux, handicapant et coûteux pour la société, il suffit de dire stop à la cigarette… un nouvel argument pour en finir avec le tabac…


Source:  Informationhospitaliere.